Un
générateur d’air dissipe de la chaleur dans un local fermé et recycle l’air ambiant. La répartition homogène de l’air s’effectue à partir d’un système de raccordement ou d’un
ventilateur. Ce type de générateur est alimenté soit par une source d’énergie électrique, soit au gaz (au propane ou au butane).
Dans le cas d’une installation dans un laboratoire, la machine produit de l’air pur grâce à un réseau d’air comprimé. Cet air purifié est souvent utilisé pour l’alimentation de certains détecteurs de
chromatographie en phase gazeuse. L’appareil élimine le gaz des hydrocarbures présent dans l’air pour prévenir les perturbations du signal causées par des éléments exogènes.
Le
prix d’un générateur d’air peut s’élever jusqu’à 10 000 €, en fonction selon :
- La puissance nominale ;
- Le modèle choisi, qui peut être un générateur d’air chaud à gaz, un générateur d’air zéro ou un générateur d’air chaud électrique ;
- La marque, telle que Chromoptic et Sapelmeca.
Le
choix de la puissance d’un générateur d’air dépend de la surface à traiter en m2 ou en m3 :
- Pour une surface de 70 m2, une puissance moyenne de 10 kW/h ;
- Pour une surface de 1 500 m2, une puissance moyenne de 105 kW/h ;
- Pour un débit de 400 m3/h, une puissance moyenne de 3 000 W ;
- Pour un débit de 2 600 m3/h, une puissance moyenne de 65 kW/h.
Quelques options sont à considérer pour améliorer l’efficacité du générateur d’air et pour faciliter son utilisation :
- Un thermostat d’ambiance réglable,
- Un ventilateur électrique intégré,
- Une manche,
- Des roulettes.